Il profite mal de son week-end… et termine hors-jeu : une Ferrari F8 saisie après un contrôle explosif
Un contraste saisissant entre luxe mécanique et irresponsabilité. Les 720 chevaux de la Ferrari F8 Tributo remis en selle réglementaire.
Un contraste saisissant entre luxe mécanique et irresponsabilité. Les 720 chevaux de la Ferrari F8 Tributo remis en selle réglementaire.
Le week-end dernier, sur les routes paisibles et ensoleillées de Cap d’Ail, dans les Alpes-Maritimes, une scène inhabituelle a attiré l’attention : celle d’une Ferrari F8 Tributo immobilisée au bord de la chaussée, ses lignes racées arrêtées net par un contrôle des gendarmes.
En effet, le véhicule, estimé à plus de 250 000 euros et fort de 720 chevaux, « a trotté un peu trop vite… et pas dans le bon état », selon les mots des forces de l’ordre. Mais ce n’est pas seulement la vitesse qui a eu raison du bijou au sigle du cheval cabré, le propulsant sur le plateau du camion de dépannage, mais l'état dans lequel son conducteur était. Ainsi, testé positif à l’alcool et à la cocaïne, les militaires ont vite mis fin à sa balade du week-end. De quoi expliqué le « pas dans le bon état ». Une situation dangereuse, mais malheureusement pas exceptionnelle, où la puissance d’un moteur se heurte à l’inconscience humaine.
Originaire de l’étranger, d'après le communiqué de la gendarmerie sur Facebook, le conducteur n’en était manifestement pas à son premier excès. Le communiqué, au ton volontairement ironique, le décrit comme « étranger au volant mais pas aux excès », soulignant à demi-mot le comportement à risque de ce conducteur.
Face à ces infractions graves, les gendarmes ont pris une décision immédiate : la belle Ferrari F8 Tributo rouge a été saisie et placée en fourrière administrative. Une image forte, évoquée de manière presque poétique dans le texte officiel : « Les 720 chevaux sont repartis à l’écurie ». Mais derrière l’humour, un message clair : la route n’est pas un terrain de jeu, encore moins sous l’emprise de substances illicites.
Le conducteur, quant à lui, devra bientôt faire face à la justice, « remise en selle réglementaire ». Une formule légère, mais qui masque mal la gravité des faits.
À Cap d’Ail, dans les Alpes-Maritimes, une Ferrari F8 Tributo a été immobilisée par les gendarmes lors d’un contrôle. Le conducteur, originaire de l’étranger, a été testé positif à l’alcool et à la cocaïne. En plus de rouler à vive allure, il n’était visiblement pas en état de conduire. Les 720 chevaux de la Ferrari ont donc été « ramenés à l’écurie » : le véhicule a été saisi et placé en fourrière. Ce n’était pas la première infraction du conducteur, selon la gendarmerie, qui a relayé l’affaire sur Facebook avec un ton ironique mais ferme. Le conducteur devra bientôt répondre de ses actes devant la justice.
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